Autres publications

Cette rubrique consiste en une liste de publications et de documents qui ne relèvent d’aucune autre catégorie. Elle contient entre autres des publications écrites par GRAIN pour d’autres organisations, les résultats de recherches communes et de projets d’écriture avec d’autres partenaires.

Karuturi, coupable de fraude fiscale

Le gouvernement kenyan a déclaré Karuturi Global Ltd, le plus important producteur mondial de roses coupées, coupable de fraude fiscale. C'est la première fois qu'un gouvernement africain a traduit une importante société multinationale en justice pour une manipulation des prix de transfert par le biais d'une procédure entièrement publique.

Le gouvernement kenyan a déclaré Karuturi Global Ltd, le plus important producteur mondial de roses coupées, coupable de fraude fiscale. C'est la première fois qu'un gouvernement africain a traduit une importante société multinationale en justice pour une manipulation des prix de transfert par le biais d'une procédure entièrement publique.

Au Mozambique, un méga projet menace de déplacer des millions de paysans

Le gouvernement et le secteur privé brésiliens collaborent avec le Japon pour lancer un vaste projet agroalimentaire dans le nord du Mozambique. Le projet, qui porte le nom de ProSavana, doit mettre 14 millions d’hectares à la disposition de l’agrobusiness brésilienne : l’objectif est de produire du soja, du maïs et d’autres denrées agricoles qui seront exportées par des multinationales japonaises. Cette région du Mozambique, connue sous le nom de Couloir de Nacala, est peuplée de millions de familles paysannes qui risquent de perdre leurs terres au cours de la mise en œuvre de ce projet.

Le gouvernement et le secteur privé brésiliens collaborent avec le Japon pour lancer un vaste projet agroalimentaire dans le nord du Mozambique. Le projet, qui porte le nom de ProSavana, doit mettre 14 millions d’hectares à la disposition de l’agrobusiness brésilienne : l’objectif est de produire du soja, du maïs et d’autres denrées agricoles qui seront exportées par des multinationales japonaises. Cette région du Mozambique, connue sous le nom de Couloir de Nacala, est peuplée de millions de familles paysannes qui risquent de perdre leurs terres au cours de la mise en œuvre de ce projet.

Diaporama : Qui est derrière l’accaparement des terres ?

Un nombre restreint de personnes prend possession d’une proportion toujours plus grande des terres agricoles du monde et des ressources en eau qui vont avec. Et le reste de l’humanité se retrouve lésé, voire totalement dépossédé. Tandis que le monde s’enfonce toujours plus profondément dans la crise alimentaire, ces nouveaux seigneurs de la terre ont tout pouvoir pour décider qui a le droit - ou non - de manger ; ce sont eux aussi qui décident ceux qui vont pouvoir profiter du système alimentaire et ceux qui ne lui survivront pas. Pour soulever un coin du voile, GRAIN a réalisé un diaporama qui expose quelques-uns des investisseurs les plus actifs dans l’accaparement des terres agricoles et ceux qui les soutiennent.

Un nombre restreint de personnes prend possession d’une proportion toujours plus grande des terres agricoles du monde et des ressources en eau qui vont avec. Et le reste de l’humanité se retrouve lésé, voire totalement dépossédé. Tandis que le monde s’enfonce toujours plus profondément dans la crise alimentaire, ces nouveaux seigneurs de la terre ont tout pouvoir pour décider qui a le droit - ou non - de manger ; ce sont eux aussi qui décident ceux qui vont pouvoir profiter du système alimentaire et ceux qui ne lui survivront pas. Pour soulever un coin du voile, GRAIN a réalisé un diaporama qui expose quelques-uns des investisseurs les plus actifs dans l’accaparement des terres agricoles et ceux qui les soutiennent.

"Hold-up sur l’alimentation" : un nouveau livre de GRAIN

GRAIN est heureux d’annoncer la parution de son nouveau livre "Hold-up sur l’alimentation : comment les sociétés transnationales contrôlent l’alimentation du monde, font main basse sur les terres et détraquent le climat", qui vient d’être publié avec le CETIM.

GRAIN est heureux d’annoncer la parution de son nouveau livre "Hold-up sur l’alimentation : comment les sociétés transnationales contrôlent l’alimentation du monde, font main basse sur les terres et détraquent le climat", qui vient d’être publié avec le CETIM.

Pourquoi la FAO et la BERD promeuvent-elles la destruction de l'agriculture paysanne et familiale?

Des organisations sociales se disent choquées et offensées par un article du Journal de Wall Street  écrit par le Directeur Général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture et le Président de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement appelant les gouvernements et sociétés à adopter le secteur privé comme moteur principal de la production alimentaire globale. Dans une déclaration conjointe, les groupes attirent l'attention sur le fait que la FAO abandonne sa mission et mette de l'avant l'accaparement des terres ainsi que la destruction de l'agriculture paysanne par les industries agroalimentaires.

Des organisations sociales se disent choquées et offensées par un article du Journal de Wall Street  écrit par le Directeur Général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture et le Président de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement appelant les gouvernements et sociétés à adopter le secteur privé comme moteur principal de la production alimentaire globale. Dans une déclaration conjointe, les groupes attirent l'attention sur le fait que la FAO abandonne sa mission et mette de l'avant l'accaparement des terres ainsi que la destruction de l'agriculture paysanne par les industries agroalimentaires.

Le sens profond de l’économie verte : approfondissement de la crise climatique et environnementale

Cet article tente de découvrir ce qui se cache derrière les propositions de l’« économie verte ». Il constitue le chapitre d’introduction du Compendium de l’économie verte qui a été rédigé sur la base d’une position commune pour RIO+20 et a fait l’objet d’une publication collective en espagnol par GRAIN, Alianza Biodiversidad, World Rainforest Movement (WRM) et les Amis de la Terre Amérique latine et Caraïbes (ATALC).

Cet article tente de découvrir ce qui se cache derrière les propositions de l’« économie verte ». Il constitue le chapitre d’introduction du Compendium de l’économie verte qui a été rédigé sur la base d’une position commune pour RIO+20 et a fait l’objet d’une publication collective en espagnol par GRAIN, Alianza Biodiversidad, World Rainforest Movement (WRM) et les Amis de la Terre Amérique latine et Caraïbes (ATALC).

GRAIN publie un tableau de données sur plus de 400 cas d’accaparement des terres dans le monde

GRAIN publie un nouveau jeu de données recensant 416 cas récents d’accaparement à grande échelle. Des investisseurs étrangers acquièrent ces terres pour produire des cultures alimentaires. Les terres concernées couvrent près de 35 millions d’hectares dans 66 pays et fournissent une illustration saisissante de la façon dont l’agrobusiness se répand d’un bout à l’autre de la planète, arrachant la production alimentaire des mains des paysans et des communautés locales.

GRAIN publie un nouveau jeu de données recensant 416 cas récents d’accaparement à grande échelle. Des investisseurs étrangers acquièrent ces terres pour produire des cultures alimentaires. Les terres concernées couvrent près de 35 millions d’hectares dans 66 pays et fournissent une illustration saisissante de la façon dont l’agrobusiness se répand d’un bout à l’autre de la planète, arrachant la production alimentaire des mains des paysans et des communautés locales.

Il est temps de proscrire l’accaparement des terres, pas question de le rendre 'responsable' !

Du 18 au 20 avril 2011, une rencontre de 200 investisseurs agricoles, responsables gouvernementaux et fonctionnaires internationaux aura lieu au siège de la Banque mondiale à Washington, afin de discuter la façon “d’opérationnaliser” les acquisitions foncières à grande échelle de façon responsable. À Rome, le Comité de la sécurité alimentaire mondiale, installé dans les locaux de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, s’apprête à lancer un processus de consultation sur les principes proposés pour réglementer ces transactions. De leur côté, conscients de l’extrême urgence de la situation, les mouvements sociaux et les organisations de la société civile (OSC) se mobilisent pour mettre fin à l’accaparement des terres et défaire les accords déjà en application. Pourquoi La Banque mondiale, les agences onusiennes et bon nombre de gouvernements concernés s’efforcent-ils de favoriser ces accords d’accaparement de terres comme des “investissements agricoles responsables”?

Du 18 au 20 avril 2011, une rencontre de 200 investisseurs agricoles, responsables gouvernementaux et fonctionnaires internationaux aura lieu au siège de la Banque mondiale à Washington, afin de discuter la façon “d’opérationnaliser” les acquisitions foncières à grande échelle de façon responsable. À Rome, le Comité de la sécurité alimentaire mondiale, installé dans les locaux de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, s’apprête à lancer un processus de consultation sur les principes proposés pour réglementer ces transactions. De leur côté, conscients de l’extrême urgence de la situation, les mouvements sociaux et les organisations de la société civile (OSC) se mobilisent pour mettre fin à l’accaparement des terres et défaire les accords déjà en application. Pourquoi La Banque mondiale, les agences onusiennes et bon nombre de gouvernements concernés s’efforcent-ils de favoriser ces accords d’accaparement de terres comme des “investissements agricoles responsables”?

Les nouveaux propriétaires fonciers: Les sociétés d’investissement en tête de la course aux terres agricoles à l’étranger

En effet, les deux grandes crises mondiales qui ont éclaté en 2008 – la crise alimentaire et plus largement, la crise financière dont fait partie la crise alimentaire ont ensemble donné naissance à une nouvelle tendance très inquiétante : l’achat de terres pour délocaliser la production alimentaire.

En effet, les deux grandes crises mondiales qui ont éclaté en 2008 – la crise alimentaire et plus largement, la crise financière dont fait partie la crise alimentaire ont ensemble donné naissance à une nouvelle tendance très inquiétante : l’achat de terres pour délocaliser la production alimentaire.

Semences de la biodiversité

Bulletin trimestriel d’information de la Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique Africain (COPAGEN)

Bulletin trimestriel d’information de la Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique Africain (COPAGEN)

La crise climatique - Copenhague - pour assurer à l’agriculture une place centrale dans les discussions sur le changement climatique

Le 15 décembre, Via Campesina et d’autres mouvements mèneront une journée d’action à Copenhague pour assurer à l’agriculture une place centrale dans les discussions sur le changement climatique.  Si l’on ne peut pas attendre grand chose de l’accord officiel, ces groupes seront toutefois porteurs d’un message d’espoir. Ce qu’ils veulent faire comprendre au monde, c’est que leur lutte incessante pour la souveraineté alimentaire constitue un moyen de résoudre la crise climatique.

Le 15 décembre, Via Campesina et d’autres mouvements mèneront une journée d’action à Copenhague pour assurer à l’agriculture une place centrale dans les discussions sur le changement climatique.  Si l’on ne peut pas attendre grand chose de l’accord officiel, ces groupes seront toutefois porteurs d’un message d’espoir. Ce qu’ils veulent faire comprendre au monde, c’est que leur lutte incessante pour la souveraineté alimentaire constitue un moyen de résoudre la crise climatique.

Des lois pour en finir avec l’agriculture indépendante

Du 23 au 27 février 2009, des membres du Protocole international de Carthagène sur la biosécurité se sont réunis au Mexique pour traiter de la « Responsabilité et réparation pour les dommages » occasionnés par les ogm. En réaction, le Réseau de défense du maïs a organisé, aux mêmes dates, le Forum pour la vie des peuples du maïs. Le document suivant retranscrit la conférence présentée par Camila Montecinos au cours de ce forum. Bien que son analyse traite de la situation mexicaine, elle permet en réalité d’entrevoir le panorama d’une stratégie mondiale qui vise à éradiquer la production alimentaire indépendante et à criminaliser la possession, la protection et l’échange en toute liberté de semences locales ancestrales, ce sur quoi repose la stratégie fondamentale des paysans depuis plus de 8000 ans.

Du 23 au 27 février 2009, des membres du Protocole international de Carthagène sur la biosécurité se sont réunis au Mexique pour traiter de la « Responsabilité et réparation pour les dommages » occasionnés par les ogm. En réaction, le Réseau de défense du maïs a organisé, aux mêmes dates, le Forum pour la vie des peuples du maïs. Le document suivant retranscrit la conférence présentée par Camila Montecinos au cours de ce forum. Bien que son analyse traite de la situation mexicaine, elle permet en réalité d’entrevoir le panorama d’une stratégie mondiale qui vise à éradiquer la production alimentaire indépendante et à criminaliser la possession, la protection et l’échange en toute liberté de semences locales ancestrales, ce sur quoi repose la stratégie fondamentale des paysans depuis plus de 8000 ans.

En lutte contre les ALE : La résistance croissante aux accords bilatéraux de libre-échange et d’investissement

Cette publication a trois objectifs. Le premier est d’essayer de fournir une solide compréhension de la « frénésie aux ALE » qui s’empare de tant de gouvernements. Beaucoup de gens ne comprennent pas très bien de quoi il s’agit, jusqu’à ce que leur gouvernement soit sur le point d’en signer un. De plus, il y a des différences importantes entre un ALE américain, japonais ou sud-sud. Une partie de ce document essaie de disséquer et d’expliciter le sens de tout ceci. Deuxièmement, il met en commun les récits de personnes engagées dans la lutte contre les ALE dans leur propre pays, et dans différentes parties du monde. Tandis qu’il existe une énorme diversité dans ces luttes, il existe aussi de nombreux points communs, comme nous le verrons tout au long de la deuxième partie. Enfin, la troisième partie tente de tirer quelques leçons à partir de l’expérience des gens jusqu’à ce jour ; ce qui pourra certainement aider ceux qui ont à s’engager dans le combat contre les ALE.

Cette publication a trois objectifs. Le premier est d’essayer de fournir une solide compréhension de la « frénésie aux ALE » qui s’empare de tant de gouvernements. Beaucoup de gens ne comprennent pas très bien de quoi il s’agit, jusqu’à ce que leur gouvernement soit sur le point d’en signer un. De plus, il y a des différences importantes entre un ALE américain, japonais ou sud-sud. Une partie de ce document essaie de disséquer et d’expliciter le sens de tout ceci. Deuxièmement, il met en commun les récits de personnes engagées dans la lutte contre les ALE dans leur propre pays, et dans différentes parties du monde. Tandis qu’il existe une énorme diversité dans ces luttes, il existe aussi de nombreux points communs, comme nous le verrons tout au long de la deuxième partie. Enfin, la troisième partie tente de tirer quelques leçons à partir de l’expérience des gens jusqu’à ce jour ; ce qui pourra certainement aider ceux qui ont à s’engager dans le combat contre les ALE.

Les Organismes génétiquement modifiés (OGM) en Afrique: Comprendre pour mieux agir

Ce document est le fruit d'une collaboration entre BEDE(Bibliohèque d'Echange de Documentation et d'Expériences), GRAIN(Genetic Resources Action International) et Inades Formation(Institut africain pour le développement économique et social). Ces trois organismes de développement veulent ainsi mieux informer, sensibiliser et former les responsables et les membres des organisations paysannes, sur les nouvelles technologies modernes de transforma- tion du vivant et, sur les conséquences que celles-ci peuvent avoir, à terme, sur l'environnement, le travail et la vie des populations rurales africaines. Ces informations sont également destinées aux agents des organisations non gouverne- mentales (ONG) qui travaillent aux côtés de ces populations. Ce document sur les Organismes génétiquement modifiés (OGM)  est le premier de deux documents pédagogiques. Le second est publié sous le titre " Les droits des communautés locales africaines, face aux droits de propriété intellectuelle (DPI).  Ces kits se présentent sous la forme de fiches  écrites en français simple pour un public de non spécialistes. Nous espérons ainsi apporter un modeste appui aux communautés locales africaines pour qu'elles puissent mieux comprendre la question des biotechnologies modernes et, participer en toute connaissance et responsabilité aux décisions locales, nationales, régionales et internationales concernant l'utilisation durable du patrimoine génétique africain.

Ce document est le fruit d'une collaboration entre BEDE(Bibliohèque d'Echange de Documentation et d'Expériences), GRAIN(Genetic Resources Action International) et Inades Formation(Institut africain pour le développement économique et social). Ces trois organismes de développement veulent ainsi mieux informer, sensibiliser et former les responsables et les membres des organisations paysannes, sur les nouvelles technologies modernes de transforma- tion du vivant et, sur les conséquences que celles-ci peuvent avoir, à terme, sur l'environnement, le travail et la vie des populations rurales africaines. Ces informations sont également destinées aux agents des organisations non gouverne- mentales (ONG) qui travaillent aux côtés de ces populations. Ce document sur les Organismes génétiquement modifiés (OGM)  est le premier de deux documents pédagogiques. Le second est publié sous le titre " Les droits des communautés locales africaines, face aux droits de propriété intellectuelle (DPI).  Ces kits se présentent sous la forme de fiches  écrites en français simple pour un public de non spécialistes. Nous espérons ainsi apporter un modeste appui aux communautés locales africaines pour qu'elles puissent mieux comprendre la question des biotechnologies modernes et, participer en toute connaissance et responsabilité aux décisions locales, nationales, régionales et internationales concernant l'utilisation durable du patrimoine génétique africain.